tag:blogger.com,1999:blog-18682187974030110852024-03-14T01:58:20.235-07:00When This House Is Rocking...Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.comBlogger21125tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-27774471632056319022010-04-18T19:38:00.000-07:002010-04-18T19:51:29.513-07:00I'm just trying to keep it together, cause I could do worse, and you could do better<div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >Petites cailles</span><br /><br /><div style="text-align: left;">Bon, il est vrai que personne ne lit, et que ça n'a, par conséquent, strictement aucun intérêt que j'écrive. En fait si, il y a quelqu'un qui me lit: moi. HAHAHA<br /><br />Bon bref, je vais pas trop maaal, je vis une vie de débauche, c'est marrant. Ah quand on a 18 ans... Donc je sors beaucoup, je bois pas mal, et ça me fait rencontrer pleins de gens bien. Non en fait quand je sors c'est soit pour attendre un mec (que j'aime hein) pendant trois heures dans un bar avec mes copinettes qui s'ennuient, pour ne le voir que 10 minutes, ou alors parce qu'il y a un serveur hyper canon dans le bar de ma rue (bar qui ferme à 5/6 heure du matin).<br />Ok, ok, c'est pas glorieux. Mais que veux-tu c'est la vie qui est faite ainsi.<br /><br />Sinon, j'ai passé un entretien d'embauche pour la première fois de ma vie! Bon ça n'a pas marché certes, mais ça s'est bien passé tout de même.<br />J'envoi demain mon CV et une lettre béton au International Herald Tribune (oui je suis pistonnée et alors?), et ça me rend toute folle, rien qu'à l'idée que j'ai le potentiel pour le faire (non mon piston n'est pas familial, j'ai bel et bien été remarquée pour mon don d'anglais).<br /><br />J'ai rencontré un photographe américain du nom de Shane (vivant lui aussi une vie de débauche à Paris), très gentil, chez qui je compte aller regarder le coucher de soleil sur le Sacré-Coeur. Ca, ça promets d'être sympathique.<br /><br />C, l'homme mystère, n'est pas moins mystérieux, toujours aussi con et méchant, et toujours aussi sexy (et le mieux c'est que je ne suis pas la seule à penser ainsi. Non, en fait c'est pas le mieux, c'est le pire dans cette histoire). Et bon, ben, je laisse couler, je lui donne du temps pour trouver un bon moyen pas trop dégueulasse pour se débarrasser de moi en douceur. Ben oui, je crois bien que c'est ce qu'il a l'intention de faire.<br /><br />Sinon, ben rien. Ah si, tout de même: je passe le concours de l'Efap (Ecole Française des Attachés de Presse/Ecole Française des Apprenties Poufiasses (au choix)) dans 10 jours. Ben non je stresse pas. Pas encore du moins. En fait, si un peu quand même.<br /><br />Du coup, là je suis en mode gueule de bois, donc c'est pas très cohérent ni très concis ce que j'écris (pourtant on me le dis tout le temps: "Liv l'esprit de synthèse c'est la clé!"). (Okay, je sors).<br /><br />Blah Blah Blah, et quelques phrases plus loin j'ai l'honneur de vous dire que je m'en vais!<br /><br /><div style="text-align: center; font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;">Bye bye les Petites Cailles!</span><br /></div><br /><br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-64518383633734477392010-02-12T17:09:00.000-08:002010-02-12T17:10:15.366-08:00And AgainJ'avais réellement décidé d'arrêter. D'arrêter de ne pas faire confiance. Je voulais vraiment trouver la personne, celle avec qui je pourrais marcher les yeux fermés en étant sûre de ne pas me cogner contre un obstacle. Je le voulais du plus profond de mon âme.<br /><br />Mais je l'ai rencontré. Un rayon de soleil dans un ciel ombragé. Mais pas un rayon de soleil chaud, agréable, salvateur. Un rayon froid, abyssal, et mystérieux. Un de ceux qui n'illumine pas mais pousse encore plus à se demander ce qui se trouve dans l'obscurité. Et je n'ai toujours pas trouvé ce qui s'y trouve.<br /><br />En apparence nous n'avons rien en commun, sauf peut-être une envie paradoxalement incontrôlable de tout contrôler, et une caractère autoritaire. Nos physiques diffèrent en tout point. Il est beau, c'est suffisant pour définir ce qu'il est que je ne suis pas. Nos esprits se contredisent, essayant sans cesse de plonger l'autre dans une perplexité dérangeante. Et ça fonctionne. La plupart du temps nous arrivons plein de questions, et repartons le coeur et l'esprit plus lourd.<br /><br />Il est auto-destructeur et arrogant. Je suis auto-destructrice, désagréable et arrogante. Et il est la seule partie de ma vie dont je ne connais pas les règles. Je n'arrive pas à voir ses qualités, et j'ai la déplaisante impression que ce sont principalement ses défauts moraux qui m'attirent.<br /><br />Il ne connait rien de moi, bien que nous partagions ce qu'il y a de plus intime. Il ne sait pas ce que je suis; au fond. Et je ne sais rien de lui, je ne sais pas ce qu'il est, ce qui le définit. Parce qu'inévitablement nous jouons des rôles. Et mon rôle me tient à coeur, parce que j'ai mis du temps à le fabriquer. D'autant plus que ne sachant rien de lui, et avançant à l'aveugle, il est préférable que j'expérimente toutes les réactions à son égard afin d'être sûre de ne pas le contrarier.<br /><br />Je ne marche pas sur des oeufs. Plutôt sur des bouts de verre. Parce que je ne sais pas ce qu'il pense, ce qui l'affecte. Parce que je ne veux pas qu'il parte sans préavis. Et encore une fois parce que je ne le contrôle pas et que c'est bel et bien la première fois que ça m'arrive.<br /><br />C'est ce frisson qui fait que je tient. Cette adrénaline qui alimente mes vaisseaux sanguins lorsque je lis un de ses messages, ou que je le rejoins quelque part. Mais c'est aussi quand cette adrénaline redescent que je ne sais plus quoi penser, comment agir. Il me laisse perplexe, et je ne sais pas le lui dire.<br /><br />J'ai peur de parler. Parce que, et c'est bien seulement lorsque je le vois que ça m'arrive, je ne sais pas calculer la portée de mes mots, et surtout j'ai peur de lui faire dire quelque chose que je ne veux pas entendre. Parce que je m'étais promis de ne plus souffrir. De ne plus laisser les gens à tout bout de champs marcher sur mon âme. Et si tenir une promesse est difficile, en briser une autre est insoutenable.<br /><br />Je ne veux pas avoir à faire le premier pas. Je ne veux pas changer du tout au tout l'essence même de la relation que nous entretenons à l'heure actuelle. Je veux juste poser des règles. Mes règles. Pas toutes, mais des règles essentielles pour moi, sans lesquelles je vais encore me laisser faire. Avec la notion d'exclusivité vient la confiance. Je le lui ai dit: l'a-t-il entendu?<br />Je ne veux pas tout savoir, mais j'en suis encore bien loin. Je ne veux pas savoir ce qu'il a fait hier soir, sauf s'il ressent le besoin de me le raconter. Je ne veux pas qu'il m'appelle demain pour me parler du temps qu'il fait.<br /><br />Je veux simplement qu'il n'appelle pas d'autres filles pour leur parler du temps, ni qu'il aille dormir avec d'autres filles. Parce que dans le même temps je n'appellerais, ni ne dormirais en aucun cas avec d'autres garçons.<br /><br />S'il est capable de me donner ça, alors je serais pleinement heureuse.<br />Si j'en suis capable.Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-18805744518501491782009-03-16T12:42:00.000-07:002009-03-16T12:57:07.823-07:00Quand le temps fait mal. Quand la seule chose qui nous reste n'est qu'un remord. Je ne sais plus ni que dire, ni que faire. Je passe mon temps à écrire ce que l'on considère comme des sornettes. Un rire expressif, empli d'émotions. Des larmes sincères, qui roulent, roulent, ne s'arrêtant pas.<br />Un cri de douleur.<br />Comment expliquer? Une haine omniprésente, la force de tout détruire. Savoir que l'on peut briser cette apparence de bonheur en l'espace d'une phrase. N'est-ce pas là le plus grand pouvoir de l'homme? Etre capable par la force des mots de ruiner une vie, de briser un rêve. De détruire la seule croyance d'un de nos semblables. Et pourtant nous ne répondons que par les armes, parce que nous sommes persuadés que seule la douleur physique peut atteindre, peut tuer.<br />Et pourtant. Nous sommes profondément convaincus d'avoir les réponses. Notre monde n'est qu'haine, désarroi. Peur.<br />Nous avons peur de tout, peur de la différence, peur de l'exclusion, du rejet. Peur de la mort, de la souffrance, et même les plus braves d'entre nous n'en réchappent pas.<br />Alors la seule réponse à tous ces actes de guerre, parce que malgré les apparences nous sommes bel et bien en temps de guerre, contre une armée invisible et invincible: la peur, n'est-elle pas la purgation?<br /><br />Continuons de sauver les apparences, de fermer les yeux face à la misère au delà de nos frontières. Enfermés dans un cocon matérialiste, car de toutes façons, nous sommes irrévocablement voués à la mort. Ne nous aidons pas, ou faisons sembler de nous aider, il n'y a là aucune différence. Moquons les uns des autres, car ni paradis ni enfer n'existent, nous ne sommes plus des êtres bons, nous avons gâchés nos chances quand le bonheur s'est présenté à nous.Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-2636887216675618542009-03-06T10:50:00.001-08:002009-03-06T11:18:52.706-08:00Une routine qui s'installe. Un moment de solitude. Le soleil qui transperce les pupilles. Un sourire nostalgique. Une démarche assurée. Ne pas vomir, ne pas tomber.<br /><br />La rue est longue, mais le trottoir étroit. Les hurlements stridents des voitures déchirent et transpercent ma tête, me laissant une migraine infernale. La nuit tombe rapidement, sans que j'ai le temps de m'en rendre compte. Une multitude de lumière apparait, un éclairage tamisé apaisant. Tout ces bruits autour de moi, la morsure de mon soda glacé, le sourire poli des badauds. L'attente. Ces émotions qui m'avaient désertées, parce qu'on me les avaient retirées. Comme un cadeau qui vous est arraché après ouverture et émerveillement.<br /><br />La fenêtre donne sur une cour froide, aux couleurs pâles, repoussantes. Les rideaux sont jaunis par la fumée de cigarette depuis maintenant des années. Le lit est grand, froid. Il n'y a pas de volets. Les bruits sont ceux des quelques voitures qui, en plein milieu de la nuit traversent l'avenue Carnot près des Champs Elysées en trombe. Ces bruits me rappellent tant d'émotions. Et les pleurs, la dernière écoute avant de les quitter.<br /><br />Les rues se ressemblent toutes et la nuit commence à tomber, tu es là, tu me suit tranquillement, calmement, on a le temps. On lève la tête dans un même geste et on rit a la vue de l'appartement de Dexter. Une gallerie d'art contemporain, une deuxième, peu de goût. Un magasin de thé, le meilleur de France. On s'arrête, on n'a pas le temps de rentrer. Un magasin surprenant dont tu n'arrives pas à retenir le nom. Toutes les rues se ressemblent et la nuit commence à tomber. Mais tes yeux brillent toujours comme lorsqu'on avait quatre ans et qu'on dansait sut ton lit bateau. Le même éclat que lorsqu'à 9 ans, on jouait au commissaire dans ton jardin, les mêmes couleurs apaisantes que lorsqu'à 7 ans on se croyait assez courageuse pour dormir dans la salle du squelette Oscar dans mon college. Le même sourire que lorsqu'on criait "L'apéro ! L'apéro" et que l'on se collait les mains à la colle UHU pour retarder le moment de la séparation.<br />Et cette angoisse lorsque tu as déménagé, jamais plus je ne la ressentirais, parce que aujourd'hui à 17 ans, cela fait 14 ans que je te connais et je sais que jamais tu ne me laisseras, parce que je ne suis rien sans toi, et que réciproquement tu n'es rien sans moi.<br /><br />Léa. Paris. Ma Vie. Merci.Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-47886298038614939412009-02-19T05:49:00.000-08:002009-02-19T06:31:26.239-08:00MonstersLa bête qui attendait tapie, qui rodait emplie de haine en moi ne se manifeste plus que rarement. Ses humeurs se répercutent seulement dans mes rêves et seuls des accès de colère et d'hystérie me prennent parfois mais plus autant qu'avant. <div>Je ne sais pas ce qui a fait le déclic, le changement, la métamorphose, mais elle a bel et bien eue lieu. Je ne suis pas plus d'apparence celle que je devrais être, et mes mots ne sont pas plus clairs et concis, mais je suis en paix, plus calme. Certainement pas heureuse, mais posée. Je vis toujours dans une espèce de conte de fées maléfique dans lequel Alice a les mains souillées et rouges et les seules âmes charitables sont le Prince Charmant six pieds sous terre, et moi, terrorisée, recroquevillée, anéantie.</div><div>Le monde autour n'a pas changé, mes souvenirs me laissent un goût amer et la seule couleur qui persiste est écarlate, brillante, foudroyante. Seul le sang vainc l'érosion. </div><div>J'ai beau être sûre de ne pas être comprise, être persuadée que personne ne saura de quoi je parle, je continue à croire que j'ai besoin de ces interludes d'écriture. J'ai besoin de savoir que je n'ai pas tout perdu.</div><div><br /></div><div>A suivre...</div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-70671827119232739152009-01-05T09:32:00.000-08:002009-01-05T09:53:12.109-08:00Until You're MineIt's been a long time, no see. Well, they do say so.<br /><br /><br />J'ai passé de bonnes vacances, sans plus, sans moins. J'ai beaucoup écrit, commencé pas mal de nouvelles, que je ne finirais pas. J'ai écrit deux chansons, (je sais c'est pitoyable), j'ai chanté, beaucoup, beaucoup. J'ai fait la fête (pas assez), et c'était cool. J'étais faite, (pas assez), et c'était marrant. Tout un tas de choses pas très interessantes en somme.<br />Je regresse, même si je ne sens plus la douleur. Je le sais, je tente de l'oublier. Mais bientôt, ce ne sera réellement plus qu'un souvenir, loin loin derrière moi =).<br /><br />Until You're MineNot gonna beEven close to completeI won't rest until you're Mine.Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-41920980015792567592008-12-08T12:12:00.000-08:002008-12-08T12:31:05.563-08:00SacrificeJ'ai besoin d'écrire. Ecrire encore sans m'arrêter. Pour vider ce flot de colère et de haine qui déborde et me fait exploser. Ce hurlement. Strident, qui m'a déchiré la gorge, ce hurlement oui, que tout un chacun devrait un jour se surprendre à faire sortir de sa bouche, il m'a abattue. Il aurait dû enfin me délivrer, et pourtant il m'a rappelé ma condition, et combien j'étais faible, combien j'étais enfermée dans ce cocon. J'ai mal, mal au coeur, mal à la tête, mal au ventre, mal à l'âme. Tout un tas de problèmes m'accablent les uns après les autres, et quand il s'agit de les exposer à un tiers supposé m'aider, plus rien ne me vient à l'esprit. Je deviens alors vide, comme une coquille brisée. J'avais besoin, je croyais d'un être inconnu, qui me tirerait de tout cela. Qui saurait comment me sauver. Qui saurait me donner les bons mots et d'un coup de baguette magique ferait tout disparaitre. Je me retrouverais alors nue, seule, sans émotions, sans ressentis, remords ou colère aucune. Je serais ni heureuse, ni malheureuse. Je ne saurais rien, je ne comprendrais rien, mais il n'y aurais rien à comprendre. Je n'aurais ni besoin d'amour, ni besoin d'amitié. Je ne m'inquièterait pour personne. Je n'aurais que ces montagnes au loin, et le froid qui transpercerait ma chaire tel des poignards éguisés. Je ne ressentirais plus les larmes perler, ni mes lêvres désséchées s'entrouvrir dans un murmure de douleur. Je n'aurais pas l'impression qu'à chaque instant quelqu'un prend plaisir à m'arracher le coeur, violemment, lentement. Je n'aurais plus besoin de crier, plus besoin de hurler. Plus besoin d'appeler dans le vide, en vain. Je n'aurais plus besoin de me faire du mal pour me soulager.<br />Tous ne seraient plus là pour essayer de me remonter le moral avec des phrases préconstruites dont ils ne sont eux-mêmes pas convaincus en ne pensant qu'une chose: "Elle est trop énervante à se plaindre sans cesse". Et pourtant si je pouvais... .Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-75525930343498280802008-12-06T14:27:00.000-08:002008-12-07T02:21:41.100-08:00You are a Womanizer<div style="text-align: left;"><div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-weight: bold;">I SWEAR I HATE YOU</span></span><br /></div><br /><br /><br /><br />I am a Slave for you. Oui je sais, je suis en mood Britney Spears. C'est nul. Bref, cette soirée est très (trop) bizarre. Je suis punie, donc je ne suis pas au 18 ans de Constance. Ni à la Nouvelle Star. Tant pis. ( Je suis plus dégoutée pour Con-Bitch que pour la Nouvelle Star).<br /><div style="text-align: center;">Et puis je suis, vous savez, sur liste d'attente. Je ne fais qu'attendre (Ok je me prends un peu pour Mr Bibou). Mais c'est tellement vrai.<br /><br /><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >"J'ai reçu ton message hein</span><span style="font-size:180%;"><br /></span><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >On en parlera"</span><br /></div><br />Tu parles oui, qu'on en parlera. Pff, j'en ai marre de courrir.<br /><br /><div style="text-align: center; font-weight: bold;"><span style="font-size:130%;">J'attends, il repousse sans cesse l'échéance fatidique, et j'attends encore. <br /><br /></span></div><br />Et maintenant je suis sans voix. J'ai perdu ces mots. Tout ce que j'avais à dire, de vrai, d'authentique, a disparu. Ma voix est brisée en milles morceaux de crystal. Tout ce que j'avais à chanter de beau, d'angélique, s'est envolé au loin. J'aimerais tant ne plus être recroquevillée sans respirer, ne plus avoir cette sensation de peur. Ne plus jamais être dans ce couloir, à terre, m'évanouissant presque et étendant très loin les autres s'inquiéter. Ne plus jamais être seule, par terre, sur ce trottoir, m'empêchant de vomir et essayant d'allumer cette cigarette. Ne plus jamais... Ne plus jamais.<br /><br /><div style="text-align: center; font-weight: bold;"><br /></div><br /><br /></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-65256236918775343812008-11-12T05:48:00.000-08:002008-11-12T09:16:40.130-08:00<div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;">"You'll Thank me later"</span><br />"What?"<br /><br /><div style="text-align: left;">I so did not understand.<br /><br />What the hell? I shouldn't care.<br /><br /><br />I come home in the morning light<br />My mother says : "When you're gonna live your life right?"<br />Oh Mother dear we're not the fortunate ones<br />And Girls they wanna have fun<br /><br />The phone rings in the middle of the night<br />My father yells "What you gonna do with your life?"<br />Oh daddy dear you know you're still number one<br />But Girls thay wanna have fun<br /><br />That's all we really want. Fun<br /><br />Some Boys take a beautiful girl<br />and hide her away from the rest of the world<br />I wanna be the one to walk in the sun<br />Cause Girls they wanna have fun<br /><br />That's all we really want. Fun.<br /><br />& I'm gonna have fun! =D<br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-12373201749684454842008-11-08T12:29:00.000-08:002008-11-12T09:12:47.625-08:00<div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;">YOU WON'T EVER BRING ME DOWN</span><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><br /><br /></span></span><div style="text-align: left;"><br />N'y a t-il pas des jours où vous ne trouvez plus de raisons? Où tout vous parait fade? Où chaque proposition vous parait stupide?<br />Ces jours-ci, c'est ce qui m'arrive. Rien ne va assez vite. Chaque minute parait une heure, chaque seconde est lourde. Chaque mot dit est inintéressant, chaque geste est long. Les larmes mettent des heures à perler, et ne roulent pas réellement sur la joue. Chaque doute est un supplice. Et je suis aujourd'hui emplie de doutes. C'est l'hésitation qui tue à petit feu. Chaque couleur est grise . Chaque souvenir est vague. Chaque royaume est trop lointain.<br />Et me plaindre à chaque seconde passée est comme brûler une éternité en enfer.<br /><br />Pourtant il fut un temps, certes bel et bien révolu, où rien ne pouvait m'arrêter, où j'étais forte dans l'adversité, où rien ne pouvait m'effrayer. Un temps où je me battais, où jamais je ne m'ennuyais. Révolu vous dites?<br /><br />Non. Certainement pas. Je me reprends. Now I'm stronger than Yesterday. Et c'est fini l'attente interminable. Fini la timidité chronique. Fini les tremblements, les crises d'angoisse, l'hypoglycémie. Maintenant je redeviens ce que j'étais avant. Fini tout ça.<br /><span style="font-size:180%;"><br /></span><div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-weight: bold;">I'M STRONGER</span></span><br /><br /><br /><br /><br /><br /><div style="text-align: right;"> <span style="font-style: italic;">I could've been the one you noticed </span><br /><span style="font-style: italic;">I could've been all over you </span><br /><span style="font-style: italic;">I could've been like all the others </span><br /><span style="font-style: italic;">Is that what I'm supposed to do </span><br /> <br /><span style="font-style: italic;">It would've been really stupid </span><br /><span style="font-style: italic;">If I would've went home with you </span><br /><span style="font-style: italic;">To give you everything you wanted </span><br /><span style="font-style: italic;">It would've been way too soon </span><br /> <br /><span style="font-style: italic;">I try to be sensitive </span><br /><span style="font-style: italic;">I try to be tough </span><br /><span style="font-style: italic;">I try to walk away </span><br /><span style="font-style: italic;">I try to be innocent </span><br /><span style="font-style: italic;">I try to be rough </span><br /><span style="font-style: italic;">But I just wanna play </span><br /> <br /><span style="font-style: italic;">You're my daydream </span><br /><span style="font-style: italic;">You know what I've been thinking about you </span><br /><span style="font-style: italic;">Lately everytime I look at you </span><br /><span style="font-style: italic;">I can't explain, I feel insane </span><br /><span style="font-style: italic;">I can't get away </span><br /><span style="font-style: italic;">You're my daydream, yeah </span><br /> <br /><span style="font-style: italic;">And you know </span><br /><span style="font-style: italic;">And you're making me insane </span><br /><span style="font-style: italic;">And you know </span><br /><span style="font-style: italic;">And you're doing it again </span><br /></div><br /></div></div><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><br /></span></span><div style="text-align: left;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;"></span></span></span></span><br /><span style="font-weight: bold;"></span></div><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><br /></span></span><div style="text-align: left;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-family:verdana;"></span></span><br /><span style="font-weight: bold;"></span></div><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><br /></span><br /></span><div style="text-align: left;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"></span></span></span></span><br /><span style="font-weight: bold;"></span></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-24801848870525743992008-11-02T10:13:00.000-08:002008-11-08T12:29:04.428-08:00I want to get back to the old days.<div style="text-align: center;"><span style="font-size:130%;"><span style="font-weight: bold;">Hold me like you mean it</span><br /><span style="font-weight: bold;">Like you miss me</span></span><br /><br /><br /><div style="text-align: left;">Là, maintenant, tout de suite, j'entends. Le bruit, strident, déchirant, qui explose au loin, et m'atteint, lentement, et m'achève, finalement. Tu ne sais pas ce que c'est toi, de ne pas savoir. De chercher vainement, d'être perdu, vaincu.<br />Je ne sais plus. Pourquoi, comment? Je ne sais pas pourquoi, mais ça ne va pas en ce moment. J'ai besoin des choses que je n'ai eu de cesse de repousser. J'ai besoin d'être entourée, choyée, aimée, admirée. J'ai besoin de ces personnes qui pourtant ne devrait pas compter. J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, il n'a bel et bien qu'une seule solution.<br />Il est loin.<br />Il n'est pas là.<br />Il ne sait pas.<br />Mais j'en ai assez de me mettre dans des états pareils! Je doit impérativement renoncer aux larmes quand le moment sera venu. Je dois impérativement être plus forte que toutes les autres. Et elle, elle que je ne connais pas, je dois la haïr de tout mon être. Je ne sais vraiment pas ce qui m'arrive. J'ai l'impression que chaque semaine quelqu'un appuie sur reset. Et tout recommence. Je suis vide, et je me remplis lentement d'os, de chair, de sentiments, et de larmes. Je ne comprends pas pourquoi. Pourquoi tout cela se passe-t-il ainsi? J'ai perdu le peu de facilité d'écriture que j'avais. J'ai perdu le vrai goût de la musique. Je dois, à chaque Reset me remplir d'art, et d'amour. Pour survivre, dans ce monde hostile, pour retrouver ce que j'aimais tant avant. Mais il ne me reste qu'un arrière-goût amer d'antan. Il est peut-être le seul qui pourra me faire retrouver mes couleurs, mes notes, pour qu'à nouveau ma toile se peigne, que ma mélodie se construise. Mais il ne le sait pas.<br /><span style="font-size:85%;"><br /></span><div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold; color: rgb(0, 0, 0);"><span style="font-size:85%;">Ces deux êtres qui prièrent,</span><br /><span style="font-size:100%;">Tels deux frères, deux enfants,<br />L'un en l'autre se fondèrent,</span><br /><span style="font-size:130%;">Etreints jusqu'à la fin des temps,</span></span><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-size:130%;" ><br /></span><span style="font-weight: bold;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-size:130%;" >De passion ils brûlèrent</span><span style="color: rgb(0, 0, 0);">, </span><br /><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-size:180%;" >Et leur chaire, et leur sang</span>.<br /><br /></span><div style="text-align: left;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-style: italic;">Do never bother knocking. </span><br /><span style="font-style: italic;">Because you know I'm still watching.</span><br /><span style="font-style: italic;">End.</span></span><span style="font-weight: bold;"> Ou pas.<br /></span><br /><div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"></span></span><div style="text-align: left;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-style: italic;"></span></span></span></span></span></span><br /><span style="font-weight: bold;"></span></div></div></div></div><br /><br /></div><div style="text-align: left;"><br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-72734606002012447182008-10-29T04:34:00.000-07:002008-10-29T04:59:00.843-07:00Lycée François Couperin: Fontainebleau.<div style="text-align: center;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold; "><span class="Apple-style-span" style="font-size:x-large;">SENIOR YEAR </span></span></div><div><br /></div><div><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;width: 378px; height: 359px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh2kAIoZxLfnXk_VDFtIc7GxdfDvfhHFW7DiOnwyo23r9NY-exsftmrywW8rrF8BDNQE3ufQ4Y1imtxFnp3BdZB_NT7aDUpPicj4F7xBG09e_LgSf3vXk0GaeTFcVrUdbS10qXuWPKZ2oM/s400/welcome.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5262543390481363410" /></div>Il est vrai qu'il n'est pas réellement temps de faire un bilan sur mes années à Couperin, étant donné que mon année de Terminale n'est pas finie, et d'ailleurs que peut-être ce ne sera pas ma dernière année. Mais je dois avouer qu'à la lecture de commentaires d'anciens de Couperin, une vague nostalgie a envahit mon esprit.<div><br /></div><div>Couperin, mes pires années jusqu'ici, mais uniquement a cause de la crise d'adolescence. Couperin c'est: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">la guerre des écureuils</span> en Automne et au Printemps, aller au bâtiment <span class="Apple-style-span" style="font-size: large;">A</span> alors que vous avez cours en <span class="Apple-style-span" style="font-size: large;">G</span>, dès la sonnerie de 10h30 et 15h00 se diriger sans même s'en rendre compte vers le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">coin fumeur</span> (qui a changé d'ailleurs). C'est taxer des clopes, et s'en faire taxer, c'est tricher comme des nazes en chinois en seconde et se faire choper au deuxième trimestre pour avoir 7/20 de moyenne au troisième. C'est ne pas résister à l'envie de se poser <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">dans l'herbe au soleil</span> avec vos potes alors que Mr Birebent ou Mme Amable vous attendent de pieds fermes en G-1-10 ou G-1-12, <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">prendre un café-clope</span></span> au Churchill ou au France parce que tout le monde sera là-bas. C'est fondre devant la gent masculine de si bonne qualité de Fontainebleau, c'est courir à travers la <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">forêt</span> pour ne pas se faire griller en train de sécher, c'est construire des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">projets</span> come le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">PEJ </span>ou la <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Fête de Fin d'Année 2008</span>, c'est éviter à tout prix la <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">vie scolaire</span> et ses radars sur pattes, c'est se taper des barres sur les profs d'anglais (sauf Mr Chantoiseau, Mme Morié et Mme Lucain qui sont excellents!!!), C'est<span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"> pleurer</span> devant nos bulletins, c'est se dire que ces annes ne finiront jamais (mais au fin fond ne pas du tout voir envie qu'elles se finissent), c'est <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">respirer la forêt</span>, c'est faire du sport (ben ouais faites 1 fois le tour complet <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">COMPLET</span> du lycée vous verrez), c'est être émerveillé par la <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">beauté des plantes</span> en revenant des vacances de Pâques, c'est se dire que le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="font-size: x-large;">BAC</span></span> est là et nous attends, c'est dire bonjour a un bon millier de personnes en même temps, c'est apprécier les années qu'on attendais tant: j'ai 16 ans je suis enfin une vraie adooo, j'ai 17 ans, enfin on me fais confiance, j'ai 18 ans <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">JE SUIS ADULTE</span> XD, c'est recontrer vos vrais amis (ou pas d'ailleurs), c'est parler anglais non-stop, c'est apprécier les joies de la forêt qui fait face au lycée <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">(si vous voyez ce que je veux dire)...</span></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-size: x-large;">Couperin c'est beaucoup de rires, de larmes, de désespoir et de joies, mais Couperin on ne l'oublie pas.</span></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-66045598430236886592008-10-15T09:04:00.001-07:002008-10-16T09:19:41.840-07:00Spotted, Olivia not caring about school. Wonder how she's gonna get out of this mess.<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAystHk0U7mGsRXy14oCCHIBQdCPScotDDB0Jz9qgEp34AYWZk-SiI76gba0Q6xpUH3aDz3AiMrnXBnSBaqIxQc3UvrLZXJUKzhAYktSI-L9c6MfDBM5_ubEn9xM81zHJukN3CYWVpERw/s1600-h/blair.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiAystHk0U7mGsRXy14oCCHIBQdCPScotDDB0Jz9qgEp34AYWZk-SiI76gba0Q6xpUH3aDz3AiMrnXBnSBaqIxQc3UvrLZXJUKzhAYktSI-L9c6MfDBM5_ubEn9xM81zHJukN3CYWVpERw/s400/blair.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5257412522967126226" border="0" /></a><br /><div style="text-align: left;"><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgngabuLd4jwfxp2FTUpOwg9WMsKT5cOCVyiZesBTPrzviIvD1Pr7JIF1h3lM7jYDZOcrTbEFLrUoxp2Im5WfiKr9hy32KE3OdxvKPsLA_8itYTySDA9tft_tT5dJq_wKOxG4y-cY9GXSs/s1600-h/26_blair_lg.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgngabuLd4jwfxp2FTUpOwg9WMsKT5cOCVyiZesBTPrzviIvD1Pr7JIF1h3lM7jYDZOcrTbEFLrUoxp2Im5WfiKr9hy32KE3OdxvKPsLA_8itYTySDA9tft_tT5dJq_wKOxG4y-cY9GXSs/s400/26_blair_lg.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5257412455152205298" border="0" /></a><br /><br /><br />Hey Upper East Siders, Olivia here.<br /><br />Cela fait un certain temps en effet que je ne suis pas venue raconter quelques anecdotes. Même si je n'en ai aucune pour le moment.<br />Le fait est que plus les jours passent, plus il apparait à mon esprit que je ne suis pas où je devrais être. Je ne sais pas exactement à quel monde j'appartiens, ni quel mode de vie me conviendrait. Tout ce que je sais c'est que actuellement ça ne me convient pas. J'ai chaque jour un peu plus de mal à supporter mon lycée. J'ai chaque jour un peu plus envie de m'en aller. Mais on s'accroche. But they say if you love something you should set it free. My parents love me.<br />Anyway you know you love me<br />XOXO Olivia.<br /></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-71538220869318378272008-09-27T07:54:00.000-07:002008-09-27T08:05:52.150-07:00I think this is yours<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjW4c9zDAtDKo2-Clbg6uQYoN5eshhJLsnPX97XjY9MUOomiP8t8FD8S3lZcru2td1mkmgzw9mc4Q3jNFq4RXpnUulkGDxUM8MWhyqoDjHp8TDg2xaQKrrZcZ0uf_qjPC0W9_WT0IydHI/s1600-h/mitchhewer6nr2.jpg"><img style="margin: 0pt 0pt 10px 10px; float: right; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjW4c9zDAtDKo2-Clbg6uQYoN5eshhJLsnPX97XjY9MUOomiP8t8FD8S3lZcru2td1mkmgzw9mc4Q3jNFq4RXpnUulkGDxUM8MWhyqoDjHp8TDg2xaQKrrZcZ0uf_qjPC0W9_WT0IydHI/s400/mitchhewer6nr2.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250716138673882450" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNymt2RnYJ5dR5D3aEeBARlfs35idbFxiQKm82Df3i4l2Knc9lQnbUc24Q23D16vzy-KA5FK-yxXk228QfezZEi7FuasEHsnyZPd1vmuyKIYlDr6mYfYJIyfibRoeTt7OGGxIIx0sl3_I/s1600-h/sfnk2.jpg"><img style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgNymt2RnYJ5dR5D3aEeBARlfs35idbFxiQKm82Df3i4l2Knc9lQnbUc24Q23D16vzy-KA5FK-yxXk228QfezZEi7FuasEHsnyZPd1vmuyKIYlDr6mYfYJIyfibRoeTt7OGGxIIx0sl3_I/s400/sfnk2.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250716060006617330" border="0" /></a><br />What do you call them? Hotties?<br /><br />Bonjour, je suis loin d'être en forme mais on peut dire que je m'en sors. J'aime bien la Philosophie, mais il faudrait revoir le sens de bien aimer quand même un peu!<br /><br />Les photographies uploadées sont celles de deux acteurs: l'un américain Sean Faris, et l'autre british Mitch Hewer as Maxxie dans Skins. Je ne sais pas trop pourquoi je les ai mis là, mais j'aime bien ces deux photos.<br /><br />Bref, célébrité de côté, je me suis inscrite à la Nouvelle Star. Oui je sais, je sais, je fais pitié, la Nouvelle Star c'est pour les sous-merdes et les sous-musiciens, mais du haut de mes 16 n'est pas ce que je suis ? Une sous-merde et une sous-chanteuse? Si à peu près. Je ne sais pas trop comment ça va se passer, mais bon j'ai promis à ma petite soeur que je le ferais, et je ne compte pas lui mentir (sauf cas de force majeur genre mes parents).<br />Les auditions auront lieu le 6 Décembre(pour ceux que ça intéresse) à St Ouen. Ca fait chier en plus c'est à 8h00 du matin mais bon c'est ça la vie d'artiste hein (à prendre au dernier des dernier degrés)?<br /><br />Au revoir, je suis loin d'être en forme mais je m'en sors/Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-88750402993549748122008-09-14T10:09:00.000-07:002008-09-27T07:52:39.028-07:00Gabrielle Chasnel dite "Coco Chanel"<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQbYg2Bs70UxKo6KmoNiVxBwknUJpWecjirKxJ8osKyCAhfsaR_4cHCaxIdG6tr3TFaZ-7kiRMrbVR9M7QeMr0O9zUZtoNN_-X4qdni85SrLyQFnkZVGrsQKpyjfQRvoba-63LDvL_RkQ/s1600-h/Coco_Chanel_by_Horst_(2211541725).jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQbYg2Bs70UxKo6KmoNiVxBwknUJpWecjirKxJ8osKyCAhfsaR_4cHCaxIdG6tr3TFaZ-7kiRMrbVR9M7QeMr0O9zUZtoNN_-X4qdni85SrLyQFnkZVGrsQKpyjfQRvoba-63LDvL_RkQ/s400/Coco_Chanel_by_Horst_(2211541725).jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250713849506584210" border="0" /></a><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWUdZEfVoG_7uF5gzwQYwsB8a034POy9O8O0H7Ag7QqYONviiaQOS-ArxJtNw4yn0xMVkQra3gteVB_850GvcQo7NAO6gOFqMsg9zULB76OuIsOO5Ih__Y1lyNMjdKOrvyXAN4HOkAGSM/s1600-h/blair-waldorf.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWUdZEfVoG_7uF5gzwQYwsB8a034POy9O8O0H7Ag7QqYONviiaQOS-ArxJtNw4yn0xMVkQra3gteVB_850GvcQo7NAO6gOFqMsg9zULB76OuIsOO5Ih__Y1lyNMjdKOrvyXAN4HOkAGSM/s400/blair-waldorf.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5250713284222843362" border="0" /></a><br /><br /><div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;">Do you like me or something?<br />Define like!<br /></span></span><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-weight: bold;"><br /><br /></span></span></span></span></span></span></span><div style="text-align: left;">Incarnation du raffinement, de la classe, du snobisme: Olivia Waldorf. Upper East Sider. Bon pas tout à fais moi, mais presque. Olivia Waldorf, personnage principal fictif de la merveilleusement machiavélique sitcom Gossip Girl, représente tout ce que j'essaie d'attendre depuis ma plus petite enfance. La politesse, la classe, le snobisme, l'intelligence, la beauté, l'élégance, la cruauté, et enfin le détachement.<br /><br /><br /><br /><br />Bien, après une petite introduction-introspection, "I'm gonna write you a love song, because you ask for it, because you need one" =D.<br />Une petite routine s'est à nouveau installée, ça me dérange moins, j'essaie de ne pas y prêter d'attention. J'ai toujours la tête dans les nuages, des étoiles plein les yeux, et mon cœur fait un bond toutes les demi-secondes.<br />Entre PEJ, Comédie Musicale, Bac, et autres baby-sitting prenant, j'ai très peu de temps pour m'entendre respirer. Très peu de temps pour enfin me regarder voler. La vie va, en ce moment, à 100 a l'heure, ça fait un peu peur. Je me dit que si tout se passe bien l'année prochaine à la même heure, au même moment je serais peut-être à la Fac ou dans une école? Qui sait. Et c'est ce qui me fait vibrer: ne pas savoir. Plonger dans le vide, le néant, m'abandonner au futur!<br /><br /><div style="text-align: center;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:georgia;font-size:180%;" ><span style="font-weight: bold;">You'll never see me again<br /><br /><br /></span></span><div style="text-align: left;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:georgia;font-size:180%;" ><span style="font-size:100%;"><span style="color: rgb(0, 0, 0);"><span style="font-weight: bold;"></span></span></span><span style="font-weight: bold;"></span></span><br /><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:georgia;font-size:180%;" ><span style="font-weight: bold;"></span></span></div></div><br /></div><div style="text-align: left;"><span style="font-weight: bold;"></span></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-2973359080791466052008-09-07T09:08:00.000-07:002008-09-07T11:10:49.561-07:00Wish I could stay here<div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-weight: bold;">I trusted you<br /></span><br /></span><div style="text-align: left;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;">Be my friend<br />Hold me<br /><br />Ça y est c'est fait. Je suis retombée dans cette routine qui m'a tué lentement l'année dernière. Certes, je ne suis plus dans le même état d'esprit. C'est déjà une grande victoire.Malgré ça, je suis toujours rattrapée par toutes ces conneries. Et je ne fais que me demander pourquoi. Pourquoi ai-je fait tout ça? Comment en suis-je arrivé là? Qu'est-ce qui m'a poussé?<br />Mais je me suis promis que tout ça c'était fini. Que tous ces rêves, j'aurais le temps, amplement, de les entretenir plus tard. Je m'y suis remise, correctement. Après cette année, j'aurais enfin le contrôle, enfin le choix s'offrira à moi. J'apprends plein de choses très intéressantes, du moins plus que l'année dernière, (seule ma prof d'anglais me donne envie de pleurer, dès le moment où elle ouvre la bouche), je suis beaucoup plus cadrée sur tous les points. C'est mieux, je me sens mieux, je suis mieux. Je sais, je manque de vocabulaire.<br />Cette année, je commence le solfège. Il n'est jamais trop tard, hein. Puis en février (pour mon anniversaire), je pourrais enfin choisir un instrument: la guitare bien entendu. Et je pourrais laisser libre cours à ma créativité (si j'en ai).<br /><br /><br /></span></span><div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >"You're not ready for the world outside</span></span></span><br /><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >You keep pretending but you just can't hide</span></span></span><br /><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >I know I said that I would be standing by your side"<br /><br /></span></span></span><div style="text-align: left;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;"></span></span>Je pense que je me suis vidée pour laisser tout à cette rentrée. Je ne ressens plus rien, même plus de colère, plus d'amour, plus rien. C'est bizarre. Tout est calme là où tout devrait être dynamique. <span style="font-style: italic; font-weight: bold;">« L’homme qui ne fait rien n’aime rien. Apportez-lui des bonheurs tout faits, il détourne la tête comme un malade. ». </span>Ce doit être l'ennui. Mais je vais m'y habituer. Ce à quoi je risque de ne pas m'habituer, en revanche, c'est qu'on ne réponde pas à mes appels retentissants. Et aux leurs. Mais ils ne s'arrêteront pas maintenant. Pas non plus dans un an. Il va falloir s'armer de patience, comme je le fais depuis bientôt 3 ans. Ce texte doit être assez incohérent et contradictoire. Peu importe. C'est sûrement parce que dans ma tête c'est la même chose. Les pensées fusent dans toutes les directions, s'entrechoquent, se nouent, explosent, soudainement. Puis se calment, pour encore recommencer. Et cette migraine en est la conséquence. Mais il faudrait que j'arrête d'écrire ce genre de choses, ça fait conservateur: je me retrouve 3 ans en arrière. Et puis quand j'aurais arrêté de les écrire, je songerais à arrêter d'y penser tout court.<br /></div><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" ><br /></span></span></span><div style="text-align: left;"><br /></div></div><span style="font-size:180%;"><span style="font-size:100%;"><br /><span style="font-weight: bold;"><br /></span></span><span style="font-weight: bold;"></span></span><br /><span style="font-size:180%;"><span style="font-weight: bold;"></span></span></div><span style="font-size:180%;"><br /></span><div style="text-align: left;"><br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-14810373427020122502008-08-31T12:04:00.000-07:002008-09-01T09:46:12.647-07:00Saving Me<div style="text-align: center;"><span style="font-size:180%;">Une intensité extrême, un regard différent, une unicité.<br /><br /></span><div style="text-align: left;">Puy en Velay, 2eme Université du PEJ-France. Une appréhension incontrôlable: comment cela va-t-il se passer? Est-ce que ce séjour va être mieux que la merveilleuse et salvatrice session nationale de Seyssinet? Une appréhension inutile. L'unicité de chaque session du Parlement Européen des Jeunes me saute littéralement aux yeux maintenant.<br /><br />Un amour passionné, passionnel, unique, enrichissant, frustrant parce que trop court. EYP.<br /><br />Premières rencontres à la gare de Lyon. Un sentiment reconnaissable survient: ça y est, nous y sommes: la 2eme Université du Parlement Européen des Jeunes à bel et bien commencée! Je pensais qu'il ferait très froid, au Puy, mais comme l'a fait remarqué Charlène, une des super-orgas, il a fait très beau, et ce pour notre plus grand bonheur!<br />Arrivée au lycée, après quelques10-15 minutes de marche avec valises, les yeux grand ouvert face à la beauté du Puy en Velay. Découverte des autres participants, confirmation de présence ("On fait l'appel"(!)), et on reçoit nos chambres: enfin nos boxes! Incroyable, le fait d'être en dortoirs à renforcer nos liens durant ces quelques jours!<br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-8340250343996027942008-08-24T08:15:00.000-07:002008-08-24T08:34:38.190-07:00Daisy Marc JacobsTu le sais très bien<br /><br /><br /><div align="left">Je vais bien. Je crois. Pas trop de pression: je suis toujours en vacances. Beaucoup de gens me manquent. Pas celles que je pensais en revanche. Je lis, les livres obligatoires, et des articles, des vieilles coupures. Je ne me sens pas opressée où encore angoissée. Je vais bien. Je vais bientôt avoir la réponse du lycée dans lequel j'ai postulé. Et si je ne suis pas prise, et bien tant pis, j'irais en Terminale L, je terminerais enfin ces années qui étaient censées être les meilleures de ma vie, et je recommencerais des année de bohneur, ailleurs. Je sais que ça se passera bien, quoique je fasse, où que j'aille, je suis prête à les affronter à nouveau, à me jeter dans la fosse aux lions, dans la gueule du loup. Et je sauterais à pieds joints. </div><div align="left"> </div><div align="center"><strong><span style="font-size:180%;"><blockquote><strong><span style="font-size:180%;">Chronique de rentrée.</span></strong></span></strong></blockquote></div><div align="left">Chaque année les vacances me semblent trop longue. A mon frère et ma soeur aussi. On attend avec impatience le moment où l'on pourra utiliser nos toutes nouvelles fournitures, remplir notre agenda même si on sait qu'on ne le lira jamais. Et pourtant cette année, je n'ai pas tant besoin que ca de déballer mes fournitures, ni de les utiliser. Je ne veux pas y retourner en réalité. Je me force à voir ça d'un oeil objectif : ça ne peux pas être si terrible, ok l'administration et les profs te detestent, mais tu as beaucoup d'amis et tu peux travailler, tu as les capacités et tu le sais. D'autant plus que la plupart de tes amis sont prèts à t'aider à te sentir bien. Seulement je ne fais qu'espèrer que j'irais en anglophone. </div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-89970627989942460652008-07-23T08:27:00.000-07:002008-07-30T04:03:29.266-07:00Il n'y a vraiment pas de quoi en faire tout un plat<div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >I'd want...<br /></span><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw3DBkllM6guEePange51oeLP65G42tC8JI-cUSAYgbkRmIybFNQu-B122to9GmwoiG8ilNTjy421udS8N7PmVvlROAQbhjsbw9VZiTvvo1YzE0wVoOjjwCCgooiSIfLnuxj1Y_Mp0XDg/s1600-h/d2.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw3DBkllM6guEePange51oeLP65G42tC8JI-cUSAYgbkRmIybFNQu-B122to9GmwoiG8ilNTjy421udS8N7PmVvlROAQbhjsbw9VZiTvvo1YzE0wVoOjjwCCgooiSIfLnuxj1Y_Mp0XDg/s400/d2.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5228761003439316130" border="0" /></a><br /><div style="text-align: left;">Dans mon inaptitude à trouver l'homme parfait, celui qui me ferait vibrer, celui qui serait capable de sauter du taxi pour un dernier baiser alors que c'était le dernier taxi et qu'il n'y a plus de métro. Dans mon incapacité à comprendre pourquoi il n'est pas le bon, et pourquoi je ne fais que me faire souffrir, j'ai remarqué, au milieu de tout ça, et ça m'a ouvert les yeux, que ce que je recherche n'existe pas. Donnez moi un bracelet de perle, je veux le collier, ou la tiare. Donnez moi un prince, je veux le prince charmant.<br />Tout cela n'est et restera dans l'ordre du rêve, de l'intouchable, de l'imaginaire. Et pourtant lorsque j'ai pû enfin frôler le bonheur extrême, j'ai douté, l'espace d'un instant, que tu ne fusses pas celui que j'attendais depuis que j'ai regardé Cendrillon en VHS. Tu étais beau dans ce rayon de lumière, ces yeux bleus qui scintillaient.<br /><br />Mais tout cela me fait vomir d'ennui, j'aime la passion, les pleurs, le feu. J'aime être secouée ardemment entre amour et haine. Tu as dû le comprendre vu ce que tu m'as fait. Et maintenant dans ce tourbillon insoutenable de sentiments brûlants de colère, je suis perdue, assise, dénudée au fond du trou, je n'ai même plus la force de tendre la main vers le haut, pour que tu me lances une corde et me remonte. J'ai beau attendre d'entendre le bruit de la corde touchant un coin de ma caverne, le signe salvateur, il n'arrive pas. Je ne l'entend pas. Tout ce que j'entends ces les murmures de ta lâcheté, de ta peur, et ton égoïsme.<br />Parce que tu as fait preuve d'égoïsme, voire même d'égotisme. Et je te hais pour ça. Je t'en supplie Aime-moi.<br /></div><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" ><br /></span><div style="text-align: left;"><br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-34061565846981047632008-07-22T11:59:00.000-07:002008-07-22T12:26:52.766-07:00Un sale type et une super-héroïne<div style="text-align: center;"><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" >I'd do...<br /></span><br /><br /><div style="text-align: left;">De merveilleux moments. Juste ces passages pendant lesquels votre tête se <span style="font-weight: bold;">vide</span>, vous perdez toute <span style="font-weight: bold;">inhibitio</span>n, vous êtes réellement <span style="font-weight: bold;">ailleurs, loin</span> de ce bas monde. La seule chose que vous réalisez encore, ce sont ses <span style="font-weight: bold;">lèvres</span> chaudes et douces qui frôlent <span style="font-weight: bold;">méticuleusement</span> votre nuque.<br /><br />Je ne savais pas quoi faire. J'étais là, <span style="font-weight: bold;">incapable</span> de penser, de réfléchir, d'être <span style="font-weight: bold;">lucide</span>. Je ne savais pas quoi dire, je me laissais juste porter par le flot interrompu de <span style="font-weight: bold;">compliments timides</span>.<br /><br /><br /><span style="font-size:180%;">"Je ne sais pas où on est, ni où on va..."<br />"Je sais que tu es belle".</span><br /><br /><br />Que faire, que dire, sans avoir peur de <span style="font-style: italic;">gâcher</span>, de <span style="font-weight: bold;">stopper net</span> ce moment unique, cet instant romantique à souhait. Celui que vous voyez dans les films à l'eau de rose (que vous clamez haïr devant vos amis, mais que vous regardez un paquet de mouchoir à la main chaque samedi où vous n'êtes pas en boîte), et qui est <span style="font-weight: bold;">parfait</span> parce que la scène à été tournée plusieurs fois avant d'être exactement <span style="font-weight: bold;">parfaite</span>.<br /><br /><br /><span style="font-size:180%;"> Mais dans la réalité on ne tourne pas ces instants, on ne les regarde pas sur la télévision non plus: on les vit.</span><span style="font-weight: bold;font-size:180%;" > </span><br /><br />Et au final, c'est tellement plus beau...<br /><br />Cela fait quelques heures qu'on s'est quitté, il me manque déjà. <span style="font-style: italic;">Je ne veux pas m'accrocher</span>... <span style="font-weight: bold;">Je crois que je l'aime déjà.</span><br /></div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1868218797403011085.post-26232183840090952272008-07-21T11:25:00.000-07:002008-07-29T08:04:03.470-07:00I WISH I COULD<div style="TEXT-ALIGN: center"><span style="FONT-WEIGHT: bold;font-size:180%;" >I'd say...</span><br /><br /><div style="TEXT-ALIGN: left">Je change. De vie, d'<span style="FONT-WEIGHT: bold">envies</span>, et virtuellement parlant, de blog. <span style="FONT-WEIGHT: bold">Futile</span>, non? Mais <span style="FONT-WEIGHT: bold">nécessaire</span>, je crois. Chaque année, je change de <span style="FONT-STYLE: italic">Blog</span> (chaque année scolaire en général). Là c'est la fin d'une année <span style="FONT-WEIGHT: bold">éprouvante</span>, longue, et par extension assez <span style="FONT-WEIGHT: bold">catastrophique</span>. Mais je recommence, je repars de zéro!<br />Je suis prête à rendre mon entourage <span style="FONT-WEIGHT: bold">fier</span> de moi, à être gentille et douce, agréable et sympathique. A être <span style="FONT-WEIGHT: bold">calme</span> et amicale, presque dévote dirais-je (<span style="font-size:130%;">she joked</span>).<br /><br />Je suis heureuse de faire mes premiers pas sur (comment ça s'appelle déjà?) "spot-blog". Je raye tout derrière moi, cette année en commencant par juillet va <span style="FONT-WEIGHT: bold">être un renouvellement, une renaissance, une seconde chance tant attendue</span>. <span style="font-size:180%;"><br /><br />Je vais être comme une Vénus Anadyomène, je vais lentement mais sûrement sortir des flots, et </span><span style="font-size:180%;"></span><span style="font-size:180%;">montrer à tout un chacun ma splendeur cachée jusqu'ici</span> (si en effet elle existe).<br /><br /><br />Merci à tous d'être là, en chair et en os, autour de moi: Regardez moi, je vais enfin briller de milles feux! </div></div>Oliviahttp://www.blogger.com/profile/05290267172876952366noreply@blogger.com2