mercredi 12 novembre 2008

"You'll Thank me later"
"What?"

I so did not understand.

What the hell? I shouldn't care.


I come home in the morning light
My mother says : "When you're gonna live your life right?"
Oh Mother dear we're not the fortunate ones
And Girls they wanna have fun

The phone rings in the middle of the night
My father yells "What you gonna do with your life?"
Oh daddy dear you know you're still number one
But Girls thay wanna have fun

That's all we really want. Fun

Some Boys take a beautiful girl
and hide her away from the rest of the world
I wanna be the one to walk in the sun
Cause Girls they wanna have fun

That's all we really want. Fun.

& I'm gonna have fun! =D

samedi 8 novembre 2008

YOU WON'T EVER BRING ME DOWN


N'y a t-il pas des jours où vous ne trouvez plus de raisons? Où tout vous parait fade? Où chaque proposition vous parait stupide?
Ces jours-ci, c'est ce qui m'arrive. Rien ne va assez vite. Chaque minute parait une heure, chaque seconde est lourde. Chaque mot dit est inintéressant, chaque geste est long. Les larmes mettent des heures à perler, et ne roulent pas réellement sur la joue. Chaque doute est un supplice. Et je suis aujourd'hui emplie de doutes. C'est l'hésitation qui tue à petit feu. Chaque couleur est grise . Chaque souvenir est vague. Chaque royaume est trop lointain.
Et me plaindre à chaque seconde passée est comme brûler une éternité en enfer.

Pourtant il fut un temps, certes bel et bien révolu, où rien ne pouvait m'arrêter, où j'étais forte dans l'adversité, où rien ne pouvait m'effrayer. Un temps où je me battais, où jamais je ne m'ennuyais. Révolu vous dites?

Non. Certainement pas. Je me reprends. Now I'm stronger than Yesterday. Et c'est fini l'attente interminable. Fini la timidité chronique. Fini les tremblements, les crises d'angoisse, l'hypoglycémie. Maintenant je redeviens ce que j'étais avant. Fini tout ça.

I'M STRONGER





I could've been the one you noticed
I could've been all over you
I could've been like all the others
Is that what I'm supposed to do

It would've been really stupid
If I would've went home with you
To give you everything you wanted
It would've been way too soon

I try to be sensitive
I try to be tough
I try to walk away
I try to be innocent
I try to be rough
But I just wanna play

You're my daydream
You know what I've been thinking about you
Lately everytime I look at you
I can't explain, I feel insane
I can't get away
You're my daydream, yeah

And you know
And you're making me insane
And you know
And you're doing it again








dimanche 2 novembre 2008

I want to get back to the old days.

Hold me like you mean it
Like you miss me



Là, maintenant, tout de suite, j'entends. Le bruit, strident, déchirant, qui explose au loin, et m'atteint, lentement, et m'achève, finalement. Tu ne sais pas ce que c'est toi, de ne pas savoir. De chercher vainement, d'être perdu, vaincu.
Je ne sais plus. Pourquoi, comment? Je ne sais pas pourquoi, mais ça ne va pas en ce moment. J'ai besoin des choses que je n'ai eu de cesse de repousser. J'ai besoin d'être entourée, choyée, aimée, admirée. J'ai besoin de ces personnes qui pourtant ne devrait pas compter. J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, il n'a bel et bien qu'une seule solution.
Il est loin.
Il n'est pas là.
Il ne sait pas.
Mais j'en ai assez de me mettre dans des états pareils! Je doit impérativement renoncer aux larmes quand le moment sera venu. Je dois impérativement être plus forte que toutes les autres. Et elle, elle que je ne connais pas, je dois la haïr de tout mon être. Je ne sais vraiment pas ce qui m'arrive. J'ai l'impression que chaque semaine quelqu'un appuie sur reset. Et tout recommence. Je suis vide, et je me remplis lentement d'os, de chair, de sentiments, et de larmes. Je ne comprends pas pourquoi. Pourquoi tout cela se passe-t-il ainsi? J'ai perdu le peu de facilité d'écriture que j'avais. J'ai perdu le vrai goût de la musique. Je dois, à chaque Reset me remplir d'art, et d'amour. Pour survivre, dans ce monde hostile, pour retrouver ce que j'aimais tant avant. Mais il ne me reste qu'un arrière-goût amer d'antan. Il est peut-être le seul qui pourra me faire retrouver mes couleurs, mes notes, pour qu'à nouveau ma toile se peigne, que ma mélodie se construise. Mais il ne le sait pas.

Ces deux êtres qui prièrent,
Tels deux frères, deux enfants,
L'un en l'autre se fondèrent,

Etreints jusqu'à la fin des temps,

De passion ils brûlèrent,
Et leur chaire, et leur sang.

Do never bother knocking.
Because you know I'm still watching.
End.
Ou pas.