samedi 27 septembre 2008

I think this is yours



What do you call them? Hotties?

Bonjour, je suis loin d'être en forme mais on peut dire que je m'en sors. J'aime bien la Philosophie, mais il faudrait revoir le sens de bien aimer quand même un peu!

Les photographies uploadées sont celles de deux acteurs: l'un américain Sean Faris, et l'autre british Mitch Hewer as Maxxie dans Skins. Je ne sais pas trop pourquoi je les ai mis là, mais j'aime bien ces deux photos.

Bref, célébrité de côté, je me suis inscrite à la Nouvelle Star. Oui je sais, je sais, je fais pitié, la Nouvelle Star c'est pour les sous-merdes et les sous-musiciens, mais du haut de mes 16 n'est pas ce que je suis ? Une sous-merde et une sous-chanteuse? Si à peu près. Je ne sais pas trop comment ça va se passer, mais bon j'ai promis à ma petite soeur que je le ferais, et je ne compte pas lui mentir (sauf cas de force majeur genre mes parents).
Les auditions auront lieu le 6 Décembre(pour ceux que ça intéresse) à St Ouen. Ca fait chier en plus c'est à 8h00 du matin mais bon c'est ça la vie d'artiste hein (à prendre au dernier des dernier degrés)?

Au revoir, je suis loin d'être en forme mais je m'en sors/

dimanche 14 septembre 2008

Gabrielle Chasnel dite "Coco Chanel"



Do you like me or something?
Define like!


Incarnation du raffinement, de la classe, du snobisme: Olivia Waldorf. Upper East Sider. Bon pas tout à fais moi, mais presque. Olivia Waldorf, personnage principal fictif de la merveilleusement machiavélique sitcom Gossip Girl, représente tout ce que j'essaie d'attendre depuis ma plus petite enfance. La politesse, la classe, le snobisme, l'intelligence, la beauté, l'élégance, la cruauté, et enfin le détachement.




Bien, après une petite introduction-introspection, "I'm gonna write you a love song, because you ask for it, because you need one" =D.
Une petite routine s'est à nouveau installée, ça me dérange moins, j'essaie de ne pas y prêter d'attention. J'ai toujours la tête dans les nuages, des étoiles plein les yeux, et mon cœur fait un bond toutes les demi-secondes.
Entre PEJ, Comédie Musicale, Bac, et autres baby-sitting prenant, j'ai très peu de temps pour m'entendre respirer. Très peu de temps pour enfin me regarder voler. La vie va, en ce moment, à 100 a l'heure, ça fait un peu peur. Je me dit que si tout se passe bien l'année prochaine à la même heure, au même moment je serais peut-être à la Fac ou dans une école? Qui sait. Et c'est ce qui me fait vibrer: ne pas savoir. Plonger dans le vide, le néant, m'abandonner au futur!

You'll never see me again




dimanche 7 septembre 2008

Wish I could stay here

I trusted you

Be my friend
Hold me

Ça y est c'est fait. Je suis retombée dans cette routine qui m'a tué lentement l'année dernière. Certes, je ne suis plus dans le même état d'esprit. C'est déjà une grande victoire.Malgré ça, je suis toujours rattrapée par toutes ces conneries. Et je ne fais que me demander pourquoi. Pourquoi ai-je fait tout ça? Comment en suis-je arrivé là? Qu'est-ce qui m'a poussé?
Mais je me suis promis que tout ça c'était fini. Que tous ces rêves, j'aurais le temps, amplement, de les entretenir plus tard. Je m'y suis remise, correctement. Après cette année, j'aurais enfin le contrôle, enfin le choix s'offrira à moi. J'apprends plein de choses très intéressantes, du moins plus que l'année dernière, (seule ma prof d'anglais me donne envie de pleurer, dès le moment où elle ouvre la bouche), je suis beaucoup plus cadrée sur tous les points. C'est mieux, je me sens mieux, je suis mieux. Je sais, je manque de vocabulaire.
Cette année, je commence le solfège. Il n'est jamais trop tard, hein. Puis en février (pour mon anniversaire), je pourrais enfin choisir un instrument: la guitare bien entendu. Et je pourrais laisser libre cours à ma créativité (si j'en ai).


"You're not ready for the world outside
You keep pretending but you just can't hide
I know I said that I would be standing by your side"

Je pense que je me suis vidée pour laisser tout à cette rentrée. Je ne ressens plus rien, même plus de colère, plus d'amour, plus rien. C'est bizarre. Tout est calme là où tout devrait être dynamique. « L’homme qui ne fait rien n’aime rien. Apportez-lui des bonheurs tout faits, il détourne la tête comme un malade. ». Ce doit être l'ennui. Mais je vais m'y habituer. Ce à quoi je risque de ne pas m'habituer, en revanche, c'est qu'on ne réponde pas à mes appels retentissants. Et aux leurs. Mais ils ne s'arrêteront pas maintenant. Pas non plus dans un an. Il va falloir s'armer de patience, comme je le fais depuis bientôt 3 ans. Ce texte doit être assez incohérent et contradictoire. Peu importe. C'est sûrement parce que dans ma tête c'est la même chose. Les pensées fusent dans toutes les directions, s'entrechoquent, se nouent, explosent, soudainement. Puis se calment, pour encore recommencer. Et cette migraine en est la conséquence. Mais il faudrait que j'arrête d'écrire ce genre de choses, ça fait conservateur: je me retrouve 3 ans en arrière. Et puis quand j'aurais arrêté de les écrire, je songerais à arrêter d'y penser tout court.