mercredi 23 juillet 2008

Il n'y a vraiment pas de quoi en faire tout un plat

I'd want...

Dans mon inaptitude à trouver l'homme parfait, celui qui me ferait vibrer, celui qui serait capable de sauter du taxi pour un dernier baiser alors que c'était le dernier taxi et qu'il n'y a plus de métro. Dans mon incapacité à comprendre pourquoi il n'est pas le bon, et pourquoi je ne fais que me faire souffrir, j'ai remarqué, au milieu de tout ça, et ça m'a ouvert les yeux, que ce que je recherche n'existe pas. Donnez moi un bracelet de perle, je veux le collier, ou la tiare. Donnez moi un prince, je veux le prince charmant.
Tout cela n'est et restera dans l'ordre du rêve, de l'intouchable, de l'imaginaire. Et pourtant lorsque j'ai pû enfin frôler le bonheur extrême, j'ai douté, l'espace d'un instant, que tu ne fusses pas celui que j'attendais depuis que j'ai regardé Cendrillon en VHS. Tu étais beau dans ce rayon de lumière, ces yeux bleus qui scintillaient.

Mais tout cela me fait vomir d'ennui, j'aime la passion, les pleurs, le feu. J'aime être secouée ardemment entre amour et haine. Tu as dû le comprendre vu ce que tu m'as fait. Et maintenant dans ce tourbillon insoutenable de sentiments brûlants de colère, je suis perdue, assise, dénudée au fond du trou, je n'ai même plus la force de tendre la main vers le haut, pour que tu me lances une corde et me remonte. J'ai beau attendre d'entendre le bruit de la corde touchant un coin de ma caverne, le signe salvateur, il n'arrive pas. Je ne l'entend pas. Tout ce que j'entends ces les murmures de ta lâcheté, de ta peur, et ton égoïsme.
Parce que tu as fait preuve d'égoïsme, voire même d'égotisme. Et je te hais pour ça. Je t'en supplie Aime-moi.


mardi 22 juillet 2008

Un sale type et une super-héroïne

I'd do...


De merveilleux moments. Juste ces passages pendant lesquels votre tête se vide, vous perdez toute inhibition, vous êtes réellement ailleurs, loin de ce bas monde. La seule chose que vous réalisez encore, ce sont ses lèvres chaudes et douces qui frôlent méticuleusement votre nuque.

Je ne savais pas quoi faire. J'étais là, incapable de penser, de réfléchir, d'être lucide. Je ne savais pas quoi dire, je me laissais juste porter par le flot interrompu de compliments timides.


"Je ne sais pas où on est, ni où on va..."
"Je sais que tu es belle".



Que faire, que dire, sans avoir peur de gâcher, de stopper net ce moment unique, cet instant romantique à souhait. Celui que vous voyez dans les films à l'eau de rose (que vous clamez haïr devant vos amis, mais que vous regardez un paquet de mouchoir à la main chaque samedi où vous n'êtes pas en boîte), et qui est parfait parce que la scène à été tournée plusieurs fois avant d'être exactement parfaite.


Mais dans la réalité on ne tourne pas ces instants, on ne les regarde pas sur la télévision non plus: on les vit.

Et au final, c'est tellement plus beau...

Cela fait quelques heures qu'on s'est quitté, il me manque déjà. Je ne veux pas m'accrocher... Je crois que je l'aime déjà.

lundi 21 juillet 2008

I WISH I COULD

I'd say...

Je change. De vie, d'envies, et virtuellement parlant, de blog. Futile, non? Mais nécessaire, je crois. Chaque année, je change de Blog (chaque année scolaire en général). Là c'est la fin d'une année éprouvante, longue, et par extension assez catastrophique. Mais je recommence, je repars de zéro!
Je suis prête à rendre mon entourage fier de moi, à être gentille et douce, agréable et sympathique. A être calme et amicale, presque dévote dirais-je (she joked).

Je suis heureuse de faire mes premiers pas sur (comment ça s'appelle déjà?) "spot-blog". Je raye tout derrière moi, cette année en commencant par juillet va être un renouvellement, une renaissance, une seconde chance tant attendue.

Je vais être comme une Vénus Anadyomène, je vais lentement mais sûrement sortir des flots, et
montrer à tout un chacun ma splendeur cachée jusqu'ici (si en effet elle existe).


Merci à tous d'être là, en chair et en os, autour de moi: Regardez moi, je vais enfin briller de milles feux!